Décembre 2023, à Montpellier, un solo du pianiste.
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Abdullah Ibrahim
Né Adolph Johannes « Dollar » Brand en 1934 à Capetown (Afrique du Sud), devient Abdullah Ibrahim en se convertissant à l’Islam en 1968. Admirateur de Thelonious Monk. Duke Ellington le remarque et l’engage dans les années 1960. Ses compositions mêlent les harmonies jazz et les thèmes sud-africains, profanes et religieux. Vie et œuvre marquées par la résistance à l’apartheid.
Articles
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Abdullah Ibrahim solo
17 mars, par Frank Bigotte -
A. Ibrahim et Bojan Z - Jazz à Vannes
5 septembre 2005, par Bob HatteauEn première partie : Bojan Z (p), Rémi Vignolo (b), Ari Hoenig (d). En deuxième partie : Abdullah Ibrahim (p), Belden Bullock (b), George Gray Jr (d)
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Chivas Jazz Festival
12 août 2002, par Alvaro NederA Rio et à Sao Paulo au mois de mai.
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Abdullah Ibrahim : Ekaya
14 octobre 2018, par Michel LabordeJazz in Marciac, chapiteau le 3 août 2018. Abdullah Ibrahim, piano ; Terence Blanchard, trompette ; Cleave Guyton Jr, saxophone alto, flûte, clarinette piccolo ; Lance Bryant, saxophone ténor ; Marshall McDonald, saxophone baryton ; Andrae Murchison, trombone, trompette ; Noah Jackson, basse, violon ; Will Terrill, batterie. -
Abdullah Ibrahim Trio
9 juin 2008, par Patrick Audoux -
Abdullah Ibrahim
4 mai 2009, par Diane GastelluCeux qui ont eu la chance d’assister à un concert d’Abdullah Ibrahim se trouveront ici en pays de connaissance. Même son de piano somptueux, mêmes attaques précises et fluidité du jeu, même recueillement qui vous saisit après quelques notes, même sensation qu’à travers ces notes respire un univers de musiques et de musiciens passés et présents.
Abdullah Ibrahim, en concert, ne fait pas simplement de la musique : il entrouvre une fenêtre sur une immense culture et une authentique spiritualité humaniste. (…) -
Abdullah Ibrahim
15 mai 2022, par Laurent DussutourLe jeu de mots est facile, mais empreint d’un grand respect pour celui qui fut l’un des principaux mentors du pianiste sud-africain Abdullah Ibrahim : Duke Ellington - on imagine certain.e.s qui fredonnent déjà « Solitude ». Sur ce disque enregistré en solo, celui que Nelson Mandela avait appelé le « Mozart africain » et que l’on appela « Dollar Brand » - du nom d’une marque de cigarettes -, déploie des accents universels et plus jeunes que jamais. Les plages de ce disque sont comme autant de paysages (…) -
Abdullah Ibrahim
3 février 2014, par Philippe MéziatLe titre du disque peut se traduire (du japonais) par « autrefois », et ne surprendra pas ceux qui suivent le parcours musical d’Abdullah Ibrahim. Cela fait quelques années qu’avec son trio il revisite ses grands succès, dans une sorte de remémoration de sa vie et de son histoire, laquelle, on le sait, l’a conduit de l’Afrique du Sud de l’apartheid aux USA en passant par l’Europe. C’est au détour des années 70 qu’il s’est fait connaître chez nous, grâce à quelques disques fameux sur le label Enja. A (…) -
Abdullah Ibrahim
16 février 2015, par Samuel VèneIl y a ce qu’on dit et la façon de le dire. Ce sont là deux objets qui, lorsqu’ils sont opposés, peuvent desservir la clarté du récit, ou bien, comme dans The Song Is My Story, lui donner un équilibre inébranlable.
L’enregistrement a eu lieu en Italie en juin 2014 à l’occasion de ses 80 ans ; Abdullah Ibrahim y joue sur un Fazioli après avoir visité l’atelier où l’on fabrique ces instruments d’exception. La majeure partie du concert est en improvisation libre.
Le titre en dit long sur ce qu’Ibrahim (…) -
Abdullah Ibrahim
28 février 2005, par Pierre-Georges GrunenwaldAbdullah Ibrahim est à l’honneur. Pour ce musicien sud-africain, l’année 2004 fut celle de tous les anniversaires : ses 70 ans, ses 50 ans de carrière, mais également les 35 ans de son premier enregistrement sur le label Enja. C’est ce label, justement, qui rend un double hommage au multi instrumentiste, avec deux disques. Le premier est un survol de sa carrière depuis 1973. Le second nous offre une vision plus actuelle de sa musique, avec des versions remixées de ses compositions dans un style (…)
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