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Alain Jean-Marie
Né en 1945 à Pointe-à-Pitre. Accompagne, dès 1973, les américains de passage à Paris, Chet Baker, Sonny Stitt, Art Farmer, Johnny Griffin, Lee Konitz, Bill Coleman, Max Roach. Lauréat du prix Django Reinhardt 1979. Joue avec Dee Dee Bridgewater, Abbey Lincoln, Barney Wilen, en trio avec Henri Texier et Aldo Romano, en duo avec Michel Graillier. Avec Biguine Reflections, il marie le jazz et la musique caribéenne. Il obtient pour Afterblue, le prix Boris Vian 1999 et un Django d’Or 2000.
Articles
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Alain Jean-Marie
31 mars, par Laurent DussutourLe Steinway superlatif sur lequel Hélène Dumez a convié les pianistes parmi les plus en vue de l’Hexagone à s’exprimer semble vibrer de plaisir sous les doigts d’Alain Jean-Marie. Question sensualité, le musicien presque octogénaire sait y faire. Son répertoire, nimbé du patrimoine antillais (mazurkas, zouk, latin) et trempé dans une mélancolie d’inspiration be-bop, suscite des émotions contrastées. Son jeu a cette préciosité narquoise qui donne à ses propositions des atours d’archipels créoles avec pour (…) -
Boulou & Elios Ferré
15 mars 2004, par Arnaud StefaniAvant tout, la pochette attire l’œil. On n’est en effet guère habitué à voir ainsi réunis les frères Boulou et Elios Ferré, Alain Jean-Marie, le pianiste ancien accompagnateur d’Abbey Lincoln et Dee-Dee Bridgewater qui a su marier ses racines antillaises et ses influences be-bop, et enfin Gilles Naturel à la contrebasse. Le résultat est donc à la hauteur de l’ouverture d’esprit et de l’écoute des musiciens ; les aficionados du manouche pur et dur retrouveront leurs repères mais entrouvriront (…) -
Tropical Jazz trio
28 mai 2023, par Gilles GaujarenguesA l’image de la discographie d’Alain Jean-Marie, le Tropical Jazz trio regarde du côté des océans. Encore que certaines compositions comme « Miss Jo » soient difficilement classables. Mais peu importe. Il n’y a pas, en musique, d’appellation d’origine contrôlée. Et si ce morceau en côtoie d’autres plus « ultramarins » - c’est le cas par exemple de « Dindé » ou encore « Sé pou vélo » - il n’y a aucune incohérence. La musique, avec Patrice Caratini, Roger Raspail et l’accordéoniste Maryll Abbas qui rejoint le trio (…) -
Tropical Jazz Trio
6 décembre 2020, par Laurent DussutourCe trio de vétérans déboule en fanfare avec un album plein de fougue. Il a fallu toute la force de persuasion du jeune label French Paradox pour les amener à pousser la porte du studio de Meudon. Pari gagné. Les musiciens sont saisis d’un souffle alizéen : les deux Antillais, Alain Jean-Marie au piano et Roger Raspail aux percussions, fourbissent le vent qui fait se gonfler d’aise la contrebasse aérienne de Patrice Caratini. Ces trois-là se rencontrèrent dans les années soixante-dix aux côtés des (…) -
Dmitry Baevsky Quartet
18 février 2018, par Christophe CharpenelSaint Rémy de Provence le 15 septembre 2017. Dmitry Baevsky saxophone alto, Alain Jean-Marie piano, Yoni Zelnik contrebasse, Bernd Reiter batterie. -
Quintette du saxophoniste David Sauzay
6 août 2012, par Frank BigotteQuintette du saxophoniste David Sauzay
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« Les Nuits et les Jours de Querbes », 7 - 9 août 2009… et octobre
7 décembre 2009, par Diane GastelluPour « Les Nuits et Les Jours de Querbes », la musique n’est pas un art décoratif. La littérature non plus.
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Les Victoires du Jazz au Paris Jazz Festival
6 août 2012, par Emmanuelle VialLes Victoires du Jazz 2012 - 1ère partie :
le 7 juillet au Parc Floral de Vincennes, dans le cadre du Paris Jazz Festival, présentées par Alex Dutilh, Sébastian Danchin, Jean-Jacques Milteau, Laurent De Wilde. Christian Escoudé Quintet feat. Laïka Christian Escoudé-Alain Jean-Marie Duo Gregory Porter Quintet Ibrahim Maalouf Diagnostic feat. Oxmo Puccino Yom with Love feat. Jeff Sharel Maceo Parker
En 2012, la cérémonie des Victoires du Jazz se dédouble et investit deux des grands festivals de jazz de (…) -
Ted Curson
1er janvier 2008, par Jérôme GransacPour ses deux concerts au Sunside (Paris) les 30 et 31 août 2006, Ted Curson avait mis sur pied une formation à géométrie variable assez surprenante (par son line-up et par l’interprétation de standards qui nous enchantent toujours) mais dans le bon sens du terme.
Ce trompettiste américain connu pour avoir joué avec Charles Mingus et Eric Dolphy (Antibes 1960) et qui a aussi accompagné Mal Waldron, Philly Joe Jones, Cecil Taylor ou Max Roach s’est entouré sur ce double live du gotha du bebop (…) -
Hommage à Clifford Brown
25 septembre 2006, par Bob HatteauFabien Mary au Duc des Lombards, le 5 septembre.