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Alfio Origlio
Articles
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Nicolas Folmer & Daniel Humair Project
18 septembre 2012, par Olivier AcostaIl y a quelque temps encore, l’association Daniel Humair / Nicolas Folmer avait de quoi surprendre. Si le trompettiste conserve un goût prononcé pour les contextes bien définis (ce qui n’enlève rien au charme de ses disques - depuis Fluide et I comme Icare, très remarqués, jusqu’aux répertoires plus audacieux du Paris Jazz Big Band, qu’il co-dirige avec Pierre Bertrand, en passant par les flirts électro du NoJazz Quartet), le batteur manifeste depuis quelques années (une cinquantaine, guère plus) un (…) -
Eric Séva - Mother of Pearl
8 décembre 2019, par Christophe CharpenelFestival Nevers D’Jazz le 11 novembre 2019 au théâtre municipal. Eric Séva saxophones baryton et soprano, Daniel Mille accordéon, Alfio Origlio piano, Rhodes, Christophe Wallemme contrebasse, Zaza Desiderio batterie. -
Eric Séva
29 novembre 2020, par Gilles GaujarenguesC’est toujours avec beaucoup de plaisir qu’on glisse un album d’Eric Séva dans sa playlist. Car si le saxophoniste est un musicien discret, rarement sur le devant de la scène médiatique, ses albums, depuis Folklores imaginaires, sont de belle facture. Pour celui-ci, joliment intitulé Mother of Pearl, si on devait remonter la filiation, c’est du côté d’Espaces croisés qu’il faudrait lorgner. Cela tient bien sûr en premier lieu à l’orchestration puisqu’on trouve dans l’un et l’autre l’accordéon qui chemine (…) -
Pierre Bertrand
10 mars 2019, par Gilles GaujarenguesCe n’est pas sans un enjeu considérable qu’on s’attaque à Far East Suite. Celui qui revisite cet album de Duke Ellington et Billy Strayhorn s’expose en effet – et très vraisemblablement malgré lui – à la comparaison. Et ce d’autant plus que la version de Pierre Bertrand reprend les morceaux de la suite d’Ellington dans l’ordre originel. Mais prendre cette comparaison stricto sensu revient à faire fi du contexte. Car on ne voyage pas en Orient de la même manière en 2018 qu’en 1964. Les mots de Pierre (…) -
Alfio Origlio
16 octobre 2006, par Arnaud StefaniIl n’est guère fréquent que la quintessence même d’un disque se trouve concentrée dans ses premières mesures, en l’occurrence ici le titre « Ascendances », qui est aussi celui de l’album. Une introduction au udu, suivie de cinq accords plaqués, profonds et persistants, puis d’une ligne de basse basique et chaloupée au piano… en quelques instants l’essentiel est dit : l’élégance, la sobriété et le sens du toucher et de la mélodie.
Cette sensualité, déjà présente dans l’écriture des compositions (…)