Un instant est le deuxième disque d’Alice. N’allez pas croire qu’il s’agit d’un recueil de contes pour enfants ou, encore moins, d’un tour de chant en solo ! Alice est un trio saxophone (soprano et ténor)/contrebasse/batterie qu’une médiathèque classerait probablement au rayon « free mélodique »…
Éric Houdart, Idriss Mlanao et François Malandrin écument la région lyonnaise depuis bientôt deux ans. Ils ont tous les trois joué, entre autres, avec Eric Le Lann ou Serge Lazarévitch, et Alice a été primée (…)
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basse
Articles
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Alice
27 juin 2005, par Bob Hatteau -
Darek Oles
8 novembre 2004, par Xavier EncinasAccompagné par un Brad Mehldau inspiré, le contrebassiste polonais Darek Oles propose avec Like a Dream un disque passionnant. Entre duo et quartet, la musique de ce disque est d’une douceur et d’une délicatesse parfaite. A écouter de toute urgence ! -
Kyle Eastwood
2 mai 2005, par Pierre-Georges GrunenwaldKyle Eastwood est bien le fils de Clint. Un simple coup d’œil à la pochette permet de lever le doute, ces deux-là se ressemblent comme deux gouttes d’eau. Ainsi en va-t-il de leur amour du jazz.
On sait depuis fort longtemps que Clint Eastwood est un passionné de musique, plus particulièrement de blues et de jazz (voir sa participation comme interviewer de Ray Charles dans la série documentaire sur le blues produite par Martin Scorcese). Mais on n’en savait pas autant sur son fils Kyle, destiné (…) -
Charnett Moffett
8 novembre 2004, par Xavier EncinasHommage implicite au John Coltrane de ( Love Supreme), ce disque révèle la face cachée du très grand contrebassiste Charnett Moffett. Accompagné par ses frères et sœurs, il livre un pur moment de méditation ainsi qu’un hommage à l’amour et à la vie. -
Jérôme Seguin
4 juin 2007, par Mathieu DurandSideman recherché, [Jérôme Seguin->http://www.jeromeseguin.fr se lance avec Mes mots dans le périlleux exercice du premier album.
Si sa musique se distingue par une certaine fraîcheur et un travail minutieux sur les arrangements, Mes mots hésite souvent entre la B.O. de Macadam Cowboy (pour l’harmonica) et la vague électro-nordique.
Entre morceaux aux mélodies (trop) sensibles portées par la présence remarquée du très demandé Pierre De Bethmann et pièces plus anecdotiques, voire « kitsch », proches d’un (…) -
Jazz de printemps au Caire…
5 septembre 2005, par Bob HatteauConcert au Café Ciabatta, le 27 mai 2005. Heine Hansen (p), Bo Stief (b), Alex Riel (d).
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Le Monde de Kota
14 mai 2007, par Arnaud StefaniUn nom de groupe pareil, c’est une sorte de serment. D’une part l’espoir d’un monde nouveau, de sonorités inédites ou d’atmosphères inattendues, mais aussi une formation égalitaire, collective, unie et où le travail d’ensemble importe bien davantage que l’expression individuelle. Les instruments renforcent cette impression : harmonica, trombone, guitare, contrebasse. Cette surprenante combinaison, outre le fait que le disque ne contient que des compositions originales, renforcent l’avant-goût (…) -
Emmanuel Vaughan-Lee
21 mars 2005, par Xavier EncinasEncore un disque qui confirme les talents de producteur de Jordi Pujol. Le contrebassiste Emmanuel Vaughan-Lee propose ici une musique passionnante et d’une grande maturité. Il est vrai que tous les ingrédients sont réunis : Mark Turner, Albert Sanz et Erik Jekabson, entre autres. Indispensable. -
Jean-Philippe Viret : Entretien (2001)
1er janvier 2001, par Anne Legrand , Véronique PerninJuste le temps de naître à Saint-Quentin (02) et Jean-Philippe Viret part pour Caen où Emmanuel Bex va décider pour lui de son destin de contrebassiste…
APPRENTISSAGE
Au départ, j’ai insisté auprès de mes parents pour faire de la musique. A la maison, il y avait un piano sur lequel j’essayais de trouver des couleurs. J’ai suivi un schéma assez classique : méthode rose, vieille demoiselle, et désintérêt pour la musique jusqu’au jour où j’ai rencontré Emmanuel Bex. C’est lui qui m’a suggéré de me mettre à (…) -
Frédéric Monino
12 juin 2006, par Arnaud StefaniAutour de Jaco. Au fil de l’écoute, le choix du titre sonne comme une évidence : il ne s’agit pas d’un simple hommage au plus célèbre des bassistes électriques, à celui dont dit qu’il y a un « avant Jaco » et un « après Jaco ». Il s’agit bien d’une exploration du patrimoine Pastorius, d’une relecture et d’une ouverture d’horizon. Respecter l’héritage tout en affirmant sa propre identité.
On retrouve donc l’esprit de Pastorius, notamment à travers le choix des morceaux : on compte huit compositions du (…)