Jazz à Luz, l’envers du décor

Jazz à Luz est décidément un festival qui ne fait pas les choses à moitié. Que l’équipe alto-pyrénéenne soit contrariée par les mesures sanitaires, bien sûr. Il leur en faut plus pour baisser les bras et laisser tomber la culture surtout lorsqu’il s’agit de promouvoir des formes originales.

Le festival d’altitude a donc fait le choix de diffuser des captations vidéo de concerts donnés en décembre dernier, et propose un programme fort alléchant. La preuve, s’il en fallait une.

Dimanche 4 avril : Timothée Quost, trompette solo
Dimanche 11 avril : Arrehar (Romain Baudoin : vielle à roue, tambourins à cordes, harmonicas, grelots, magnéto cassette ; Benjamin Rouyer : technicien son)
Dimanche 18 avril : Piscine olympique (Xavier Camarasa : Fender Rhodes, effets ; Laurent Paris : batterie)
Dimanche 25 avril : La Marmaille (Anaïs Andret-Cartini : voix, trompette, Kevin Balzan : voix, basse électrique, Marc Maffiolo : saxophones, Frédéric Monnier : saxophones, Loris Pertoldi : batterie, Nathanaël Renoux : tuba)

Et pour ceux qui ont manqué le début, on peut même les visionner après la date indiquée, en un tout petit clic. Tout cela sur le site https://www.jazzaluz.com.