La production indépendante peut-elle casser des briques ?
Les Allumés du Jazz, 38e
Qu’est-ce qui :
- paraît quand il le peut mais avec une inégalable ferveur ?
- déteste l’engourdissement ?
- aime passionnément la musique pour ce qu’elle raconte de la vie et pour ce que la vie peut en dire ?
- vous donne des nouvelles de ce qui borde, aide ou contrarie le champ musical ?
- convie musiciens et musiciennes et tous leurs camarades à l’ouvrir sans limitation ?
- ne se soumet ni aux lois du marché, ni à celles des aristocraties diverses ?
- apprécie autant les questions que les réponses ?
- aime les oiseaux ?
- offre des cachous pour se protéger de la novlangue ?
- invite les meilleures illustratrices et illustrateurs à leur désir de partage d’une vibration allumée ?
- ne laisse pas les photographes en reste ?
- est gratuit si on veut et un peu payant si on veut aussi ?
Non vraiment vous ne trouvez pas ?
Alors un indice : c’est le plus affûté des journaux de jazz depuis 20 ans … depuis 20 ans ? Mais oui, depuis 20 ans !
Ah mais oui bien sûr ! Le journal des Allumés du Jazz qui sort ces jours-ci son 38ème numéro « La production indépendante peut-elle casser des briques ? »
Le journal de JAZZ le plus ALLUMÉ, puisqu’on vous le dit !
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