Le Tigre des Platanes & Eténèsh Wassié à Paris
Communiqué :
Concert événement
Le Tigre des Platanes & Eténèsh Wassié #ethio-jazz-experience
Une soirée éthioSonic pour la sortie du disque Zèraf ! Eténèsh & le Tigre (des Platanes)
Organisée par Freddy Morezon’ p.r.o.d., Buda Musique et la Huit Production
Une soirée éthioSonic pour un voyage à travers le « groove éthiopien d’aujourd’hui,
sous toutes ses formes et d’où qu’il vienne ».
- Mercredi 18 juin 2008 à la Bellevilloise
19 rue Boyer
75020 Paris
Métro Gambetta (ligne 3)
Rens. et rés. 01.46.36.07.07
Tarif unique : 10 € sur place
Le Tigre des Platanes & Eténèsh Wassié s’installent sur la scène du club de la Bellevilloise pour fêter la sortie de leur album Zéraf ! Un disque qui inaugure la nouvelle collection discographique éthioSonic cousine des éthiopiques initiée par Francis Falceto. Cet évènement est l’occasion d’un coup de projecteur sur le travail mené depuis 20 ans par le label Buda Musique et Francis Falceto. éthioSonic compte déjà à son actif deux DVD : Mahmoud Ahmed & Either Orcherstra + The Ex & Getachew Mekuria. Le troisième film à paraître sera projeté en avant-première à l’issue du concert Mohammed Jimmy Mohammed trio réalisé par Stéphane Jourdain/La Huit Production.
Zèraf !, le disque.
Un dialogue entre tigres et tigresse
Ce disque constitue pour les membres du Tigre des Platanes la photographie d’une année riche en émotions et en découvertes.
Zéraf ! le disque du Tigre des Platanes et Eténèsh Wassié a été enregistré en août 2007 au studio Condorcet, à Toulouse. Prévu à l’origine comme un enregistrement du quartet instrumental, auquel pourraient s’adjoindre des invités de choix selon les morceaux, exclusivement d’origine éthiopienne, il s’est trouvé que le temps de gestation de cet enregistrement coïncide avec l’aventure qu’aura été la rencontre avec Eténèsh Wassié.
Le Tigre aura vécu un printemps et un été 2007 intenses, puisqu’en vue des sessions d’enregistrement programmées pour juillet ou août, arrive, le 13 mai, Eténèsh, et qu’à compter de cette date, s’enchaînent à un rythme échevelé répétitions puis concerts, à travers la France, la Suisse et la Hollande. La rencontre dépasse, humainement et musicalement toutes les espérances des musiciens. Si bien qu’à l’approche de son entrée en studio, le Tigre riche de son expérience de scène trouve tout naturel d’immortaliser une part de cette actualité en invitant Eténèsh Wassié sur une partie assez conséquente du disque.
éthiosonic / Buda Musique
Avec plus de 400 références et une moyenne de 20 parutions par an, Buda Musique a constitué en 20 ans une des plus importantes collections consacrées aux musiques du monde, traditionnelles ou « urbaines ». Initiée et dirigée par Francis Falceto, la collection des éthiopiques se voulait « être un lieu de référence aussi excitant que documenté, une sorte d’ambassade sonore de l’histoire musicale de l’Éthiopie ». Avec sa nouvelle collection éthioSonic, il va plus loin et propose « le groove éthiopien d’aujourd’hui, sous toutes ses formes et d’où qu’il vienne – Éthiopie, diaspora ou fèrendj (« étranger » en amharique). » (© Francis Falceto)
20H : CONCERT
Eténèsh Wassié & le Tigre des Platanes # ethiojazzexperience
Eténèsh WASSIÉ voix
Marc DÉMEREAU saxophones
Fabien DUSCOMBS batterie
Piero PÉPIN trompette, bugle
Mathieu SOURISSEAU basse acoustique
Pierre FLEYGNAC son
22H : PROJECTION EN AVANT PREMIERE
La Bellevilloise
Mohammed Jimmy Mohammed trio
Un film de Stéphane Jourdain
Décédé en décembre 2006, Mohammed Jimmy Mohammed a passé sa vie à chanter le blues éthiopien déchirant. Profondément marqué par Tlahoun Gessesse, autre grand musicien éthiopien, le chanteur aveugle n’a jamais cessé de reprendre les thèmes de son idole.
La tournée 2008
Juin
- 14/06 : Festival Ti Piment – Nancy (*Eténèsh Wassié en duo avec Mathieu Sourisseau)
- 18/06 : Soirée éthioSonic – La Bellevilloise. Paris 20e
- ,19/06 : Festival Les invites de Villeurbanne
- 21/06 : Fête de la musique – Clermont-Ferrand
Juillet
- 02/07 : Soirée Jazzmix. Jazz à Vienne
- 12/07 : Festival Les Pieds dans l’eau – Argentat
- 19/07 : Festival Terre de Couleurs – Daumazan sur Arize
- 26/07 : Festival Boulevard du Jazz – Melle
- 27/07 : Cabaret Frappé, co-accueil Musiques nomades / 38e Rugissants – Grenoble
A suivre…
Le Tigre en Ethiopie : 20 décembre 2008 – 20 janvier 2009
En décembre prochain, ethiojazzexpérience s’envole pour l’Éthiopie. Le désir des cinq musiciens après avoir expérimenté différentes scènes en France et en Europe est de poursuivre leur aventure artistique sur le sol éthiopien. Un voyage sous le signe du concert tout-terrain, du workshop et d’un chapitre supplémentaire dans le documentaire réalisé par Leïla Morouche. Un retour aux sources pour toucher un public le plus large possible au nord, au sud, à l’est et à l’ouest de l’Éthiopie. Le Tigre des Platanes & Eténèsh Wassié invitent Melaku Belay, jeune danseur, dont l’approche de la danse traditionnelle et l’ouverture sur la danse contemporaine et la musique « revisitée » s’intègrent parfaitement à l’esprit de la création.
Perspectives 2009
Un DVD live et un documentaire réalisés par Leïla Morouche
« Lorsque j’ai vu pour la première fois en concert Le Tigre des Platanes avec Eténèsh Wassié (que j’avais entenduechanter dans son azmaribèt à Addis), ce fut un vrai flash musical. Ce groupe cristallisait en quelque sorte toutesmes interrogations et les remettait en perspective. Il représentait également une passerelle entre un passé musicalprolifique, insolite, et un présent curieux et novateur.L’intention du Tigre n’est pas d’offrir une interprétation mimétique, fidèle et insipide des morceaux originaux maisplutôt de proposer des arrangements singuliers, libres et propres à ceux qu’ils sont. Il s’agit d’un réel travail decréation. C’est précisément ce qui m’a séduite.
C’est pourquoi j’ai suivi Le Tigre des Platanes en studio durant l’enregistrement de leur album « Zéraf ! ». Cettephase cruciale est rarement dévoilée. La présence privilégiée de deux caméras a permis de capter les étapes dece travail artistique : moments d’intense concentration, de réflexion, de répétitions acharnées, de montrercomment un morceau prend forme, de rendre compte de leur méthode de travail, de mettre à jour l’alchimieentre Eténèsh et les musiciens…Une réelle proximité s’étant installée avec le groupe, il a été possible de les filmer auplus près. Pénétrer dans ces coulisses fut une manière franche et touchante de révéler chaque personnalité dugroupe (nombreuses discussions à bâtons rompus). De cette session dans ce laboratoire sonore, il en ressort unematière visuelle riche et singulière.
Cependant, ce n’est qu’une étape du processus filmique. J’aimerais poursuivre dans cette voie et pouvoir lesaccompagner dans leur tournée éthiopienne. Ce serait une belle note finale que d’achever ce film en Ethiopie.Tout prendrait son sens en révélant cette dimension. Montrer l’impact que produit ce projet musical sur le public éthiopien, montrer les coulisses de cette tournée (les surprises, les obstacles…), voir comment les musiciens s’adaptent au pays d’Eténèsh, passer du temps avec elle, saisir son quotidien… Au-delà du simple fait de garder une trace de ce moment, c’est surtout s’assurer que par-delà les frontières des langues communes peuvent (encore) se trouver et s’entendre. Cette aventure musicale est aussi une aventure filmique… »
© Leïla Morouche. Paris. Septembre 2007.
éthiojazzexperience
Un concert qui pourrait bien tourner au chavirement… avec la présence de Eténèsh Wassié, authentique chanteuse éthiopienne résidant à Addis Abeba, à la voix phénoménale et éraillée et à l’étonnante capacité d’improvisation. Le Tigre des Platanes, quartet toulousain et vénéneux, mine et recycle à sa façon, plutôt impertinente, des musiques increvables. Après un séjour musical au Festival International de musiques éthiopiennes en janvier 2006 (invité par Francis Falceto, directeur artistique des collections discographiques éthiopiques et éthioSonic), le quartet toulousain est revenu d’Addis Abeba plein d’une énergie nouvelle, enrichi par le voyage et les rencontres. Le Tigre des Platanes, inspiré, est animé d’un fervent désir de création vivace avec des musiciens éthiopiens prêts à jouer le jeu de la confrontation. En mai 2007 Eténèsh Wassié relève le défi. Sur la base des magnifiques « standards » éthiopiens, les Ambassel, les Tezeta… la rencontre Eténèsh Wassié/Tigre des Platanes se propose d’explorer réellement le territoire nouveau et inconnu qui s’offre aux cinq musiciens. Une musique qui vous emporte pour un soir dans une ambiance moite et magique.
Distribution
Le Tigre des Platanes ?
Insecticule assez minable importé par accident d’Amérique du Nord au début des années 70, le tigre des platanes s’avère être un redoutable parasite qui mine par l’écorce les majestueux alignements bordant nos boulevards et nos routes nationales. C’est malin. Le Tigre des Platanes est aussi un quartet acoustique. Trompette, bugle, tuba, basse acoustique, saxophones, chant, mélodica et batterie, oui ça fait plus de quatre, mais certains sont polyglottes. Depuis ses débuts le Tigre des Platanes revisite sévèrement un répertoire de morceaux choisis originaire de points et d’époques névralgiques dans ce qui constitue notre « culture » musicale de ces 30 dernières années.
Sur leur premier disque Avec les dents, entre deux morceaux de musique éthiopienne, on retrouve Dog Faced Hermans, Duke Ellington, Fela Kuti, Tom Waits ou encore Lou Reed. Depuis ses débuts, le Tigre des Platanes a été porté par le Voyage. La musique du quartet toulousain met le doigt sur les notions de métissage, l’importation, l’impureté des brassages culturels, l’invasion, la réappropriation. Le tout dans un désordre hautement revendiqué ! (2003 réédition 2007, label Mr. Morezon, distribution Orkhestrâ)
Zéraf ! Eténèsh & Le Tigre (des platanes)
Eténèsh WASSIÉ voix
Marc DÉMEREAU sax baryton, alto & cris
Fabien DUSCOMBS batterie, Percussions<
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Piero PÉPIN trompette, bugle, mélodica
Mathieu SOURISSEAU basse acoustique, guitare, banjo, soubassophone
+ invité Olivier CUSSAC orgue hammond
Enregistré, mixé et produit par Olivier CUSSAC au Studio Condorcet, Toulouse
Assistant Michel BONNEVAL
Production Freddy Morezon’ p.r.o.d.
Les artistes
Eténèsh Wassié, voix
La tradition des azmari, ces « griots » de l’orient de l’Afrique, très forte en Ethiopie, est inscrite dans le uotidien. Ils portent à la fois la geste du passé, et, dans d’audacieuses improvisations vocales riches en double sens (le fameux « sèm-enna-wèrq », sport intellectuel national !), celle d’aujourd’hui, un peu à la façon impertinente de ce qu’on appelait ici les « chansonniers ».
Bien qu’elle ait su s’y imposer, avec ses costumes trois pièces, son humour et son sens de la blague bien affûtée, Eténèsh a une place à part dans le milieu azmari d’Addis Abeba. Elle est née à Gonder en 1971, issue d’une famille orthodoxe pratiquante et découvre très tôt qu’elle a une voix. « Un cadeau de Dieu » comme elle l’explique volontiers quand on l’interroge.
Elle commence sa carrière professionnelle à Addis Abeba au début des années 90. Invitée très rapidement par plusieurs musiciens éthiopiens avec lesquelles elle collabore sur scène ou sur disque (répertoire traditionnel, compositions originales), Eténèsh s’affranchit peu à peu et intègre le réseau des azmaribèts. Francis Falceto, grand amateur desdits azmaribèts, la découvre et tombe sous le charme de sa voix singulière et son charisme évident. Il l’invite pour plusieurs tournées européennes entre 2000 et 2005 avec des musiciens, chanteurs et danseurs pour une formule « Cabaret éthiopien » (Banlieues bleues, Tribu Festival, Châteauvallon…)
« Dire qu’Eténèsh Wassié a la modestie des humbles et la majesté des justes n’est pas simple excès d’emphase. Les yeux mi-clos, Eténèsh se laisse conduire où sa voix éraillée l’emporte (nous emporte), poignante, terrassante, colossale petite soeur de Piaf et Billie Holiday. Mais le registre des déchirures ne saurait la satisfaire, et elle peut tout aussi bien, sans prévenir, précipiter le tempo après une ballade qu’on aurait souhaitée interminable. C’est cet art consommé de l’entertainment, vertu cardinale de l’azmari avec son brio dans l’improvisation, qui gouverne chaque soirée dans les meilleurs azmaribét d’Addis. C’est dans différents bistrots de Datsun Sèfèr qu’Eténèsh officie, selon son humeur — ou celui des tenanciers. Le succès aidant, elle espère bien pouvoir se fixer un de ces jours et se mettre à son compte pour de bon. »
Francis Falceto
Depuis quatre ans environ, Eténèsh s’est installée dans le quartier chaud de Datsun Sèfèr à Addis Abeba où elle co-dirige un azmaribèt. Eténèsh cultive son statut « à part », un phénomène dans cette caste traditionnelle. Non issue d’une famille azmari, « autodidacte » elle a su faire sa place dans ce milieu. C’est sûrement l’une des raisons qui a poussé Francis Falceto à proposer aux 4 musiciens du Tigre une collaboration avec Etènèsh, en connaissant son ouverture d’esprit et sa capacité à relever le défi d’une création sur des musiques éthiopiennes sévèrement revisitées. En janvier 2007 Eténèsh répond à cette invitation… Eténèsh ne parle ni français, ni anglais. Le Tigre des Platanes ne parle pas amharique… mais la complicité artistique est immédiate – au-delà des mots - et s’est consolidée à chaque étape de cette aventure, avec comme point d’orgue l’enregistrement du disque.
Marc Démereau, saxophones
Né à Alger, il vit et travaille à Toulouse depuis 1989. Musicien : saxophones, scie musicale, instruments électroniques, compositeur, enseignant… Pratique de longue date toutes sortes de musiques (écrites, improvisées, produites en temps réel ou élaborées en studio …) dans une perspective transversale d’ouverture des idiomes, qu’ils soient populaires ou contemporains. Titulaire du Diplôme d’Etat de Professeur de Jazz.
Marc travaille actuellement avec Didier Kowarsky, La Friture Moderne, Katz, Cannibales et Vahinés (Lauréat Jazz Migration 2008) dont il assure la direction musicale. Il joue également avec le groupe Enoz et le groupe electro-jazz Trump’n Bass.
Il a notamment joué à Jazz à Luz, Jazz sur son 31, Jazzèbre, Assier dans tous ses Etats, Festival d’Aurillac, de Chalons en Champagne, les Pronomades, Jazz à Mulhouse, Europa Jazz du Mans, Summer Festival de Carmaux , Festival de Jazz de Belle Isle en Mer, Grenoble Jazz Festival, Paroles d’Hivers à St Brieuc, aux Théâtres du Pavé, Garonne, National de Toulouse, au Panonica, au Festival Mimi , au Festival de Musiques Innovatrices, au Nigeria, à Ouagadougou, à l’Alliance Ethio-Française d’Addis Abeba.
Fabien Duscombs, batterie
Musicien autodidacte, il a joué dans divers groupes (Jazz, rock, musiques du monde, variété, musette, musiques improvisées, musique de rue, musique électronique) et dans différents contextes (bars, fêtes locales, clubs, théâtres, rue, festivals, divers…etc.) Octobre 1995 à juin 1996 : cycle de formation professionnelle du musicien à l’école Music’Halle de Toulouse, sous la direction de Richard Callega (saxophoniste) et de Christian « Tonton » Salut (batteur). A été un des membres fondateur du CUF (Complot Ultra Frêle) collectif de musiciens et d’artistes (danseurs, graphistes…), basé à Toulouse.
A joué avec Noël Akchoté : création Festival Jazz à Luz en 1997. Avec Denis Badault, François Merville, Médéric Collignon et Olivier Sens : création « … et si c’était … » de Denis Badault, commande de Jazz sur son 31 en 1999. Il a partagé la scène dans divers festivals de jazz (Rive de Giers, Uzeste musical, Jazz sous les pommiers, Assier dans tous ses états, Jazzèbre Perpignan …) avec des artistes comme Evan Parker, Hann Bennink, Bernard Lubat, Beñat Atchiary, Celea-Couturier, La Campagnie des musiques à ouïr…
A travaillé plusieurs fois avec Didier Kowarsky. Joue depuis mars 1999 avec Marc Démereau au sein de La Friture Moderne et du quartet Le Tigre des Platanes. Travaille également avec le bassiste et contrebassiste Marc Perrenoud au sein de multiples formations de jazz et de musiques improvisées.
Piero Pépin, Trompette
Il joue et compose dans « Lilliput Orkestra », quartet de jazz actuel (Laurent Rochelle, Olivier Brousse, Pascal Portejoie). Travaille également avec La Friture Moderne, Le Tigre des Platanes, avec la compagnie de danse contemporaine Emmanuel Grivet (« What is the right place to be » octobre 2002, « Voici » avril 2003). Création musicale sur des films de Jean Painlevé, commande de l’Alhambra Ciné-Marseille pour les journées du patrimoine. Création musicale pour le premier court-métrage de Farid Amrani. Reprise du spectacle « La Peur au Ventre » et création « Le Bal des Fous » avec la Compagnie des Chiffonnières / Cinérama. Concerts avec la formation « Abjoy », quatuor composé de Christine Bonnays, Pierre Blanchut et Claire Bonnard (création pour le festival de musique sacrée de l’Abbaye de Sylvanes).
Participe au deuxième album du duo Buru composé de Francine Tieche et Pape n’diaye. Création musicale avec Mathieu Sourisseau pour le spectacle de la compagnie La Mobile Boutique : 3912 Km (danse contemporaine). Participe à plusieurs rencontres danse/musique improvisée avec entre autre Emmanuel Grivet, Thierry Bae, Didier Labbé, Dominique Regef…
Mathieu Sourisseau, Basse acoustique
Musicien autodidacte. Il est un compagnon de longue date de Marc DÉMEREAU. Joue notamment avec La Friture Moderne, Le Tigre des Platanes, KATZ et les conteurs Didier Kowarsky et Abakar Adam Abaye. Il a créé le solo Maison Souris à la demande Jean-Pierre Layrac pour l’ouverture de la saison 2004/2005 de Un Pavé dans le Jazz. Par la suite il y a associé Benoît Bonnemaison-Fitte, complice de longue date. C’est ainsi que le projet de solo de guitare électrique a accouché d’un son et lumière intimiste dans un trou de souris. Récemment il a aussi monté le projet « Mamies Guitares » avec Benoît Bonnemaison-Fitte et Gwladys Deprez, proposant de faire découvrir la musique par la guitare à tout ceux qui ont passé leur vie à l’entendre sans jamais la pratiquer.