Les 15 ans de l’UMJ : programme !

Communiqué :

28 janvier 2007
L’UMJ fête ses 15 ans au New Morning

A l’occasion du 15è anniversaire de sa création, l’Union des Musiciens de Jazz organise un dimanche exceptionnel sur la scène du New Morning à Paris. Cet événement sera l’occasion pour l’UMJ de présenter ses actions et de mettre en valeur ses partenaires historiques et futurs. L‘aspect associatif et la dimension artistique de l’UMJ se rejoindront de façon originale pour offrir au public une soirée inoubliable.

La Grande « Spoumjitude » :

Autour du SPOUMJ (Sound Painting [1] Orchestra de l’UMJ), l’orchestre de l’association dirigé par François Jeanneau, l’UMJ a prévu une programmation prestigieuse et des interventions sur l’actualité du jazz en France. Sur les « ordres » d’un « maître de cérémonie soundpainter », la musique succèdera au spectacle et aux présentations des partenaires de l’UMJ, dans une ambiance d’improvisation collective.

Le SPOUMJ a été créé pour donner une dimension artistique à l’Union des Musiciens de Jazz, élargir son rayonnement et contribuer à faire connaître et reconnaître les musiciens de jazz.

PROGRAMME

• Le SPOUMJ

Invité : Walter THOMPSON

La rythmique : Ann BALLESTER, piano - Fred MAURIN, guitare - Eric MOUCHOT, basse - Luc ISENMANN, batterie - Jo QUITZKE, batterie - Jean-Marie LAGACHE, percussions - Thomas DALLE, percussions - Emmanuel BEX, accordéon - Tristan MACÉ, bandonéon

Les pupitres : François JEANNEAU, sax - Pierre BERTRAND, sax - Géraldine LAURENT, sax - Nicolas MONTIER, sax - Daniel BEAUSSIER, sax / clarinette - Jean-Marc BOUCHEZ, sax - Christophe CAGNOLARI, sax - Eric DESBOIS, sax - Sébastien LLADO, trombone - Valérie OTERO, trompette - Gilles RELISIEUX, trompette - Florent BRIQUÉ, trompette - Philippe LAUGIER, violon alto

Les chanteuses, comédiennes et slameurs : Marjolaine REYMOND - Frédérike BORSARELLO - Marlène CONTINENTE - Catherine MOULIN - Dominique FONFREDE - Rafaële ARDITTI - Valentine QUINTIN - Laurent ARDOUVIN

• François JEANNEAU Quartet avec :

Emil SPANYI (piano),
Guillaume JURAMIE (basse)
Joe QUITZKE (batterie)

• Henri TEXIER « Strada » Quartet avec :
  Sébastien TEXIER (sax alto/clarinettes),
  Manu CODJIA (guitare),
  Christophe MARGUET (batterie)

• Aldo ROMANO Trio Surprise

• L’ONJ (Orchestre National de Jazz), sous la direction de Franck TORTILLER.

• LFO (Le Fantasmagorique Orchestra) : un big band de danse, créé pour l’occasion par Sébastien LLADO et Florent BRIQUÉ

HISTORIQUE

1992-2007 : l’UMJ a 15 ans

• 1992 : 1ère Assemblée Générale de l’UMJ le 12 janvier au New Morning ! Sont élus au Conseil d’Administration : Aldo Romano, Patrice Caratini, Guy Lafitte, Michel Benita, Olivier Hutman, Henri Texier, Andy Emler, Michel Goldberg, Ann Ballester, Benoît Widemann, Sylvain Beuf, Hélène Labarrière, Pascal Anquetil, Bernard Maury et Arnaud Merlin.

• Printemps 1992 : Bulletin trimestriel n°1, c’est la première « Gazette », Aldo Romano commence son édito par « Chers amis, enfin, l’UMJ est créée. Elle sera nécessaire pour l’avenir de notre musique ».

• Automne-Hiver 1992 : la Gazette titre « 600 adhérents… l’UMJ décolle »

• Hiver 1993/1994 : Qui sont les jazzmen français ? L’image du jazz chez les jeunes… Les festivals en France… Etat des lieux de la diffusion, de l’enseignement du jazz et du métier du jazz en France… L’UMJ questionne, résume, complète et commente… L’UMJ est déjà une force de proposition.

• 1995 : l’UMJ organise une rencontre entre les différents acteurs de la vie musicale autour du thème : « la place pour le jazz dans les structures de diffusion et la sensibilisation des publics ».

• 1996 : L’UMJ entame sa 5e année d’existence. Denis Badault est président. L’UMJ se mobilise contre les négociations qui, déjà, mettent en danger le régime ASSEDIC des intermittents du spectacle. L’UMJ a joué son rôle de relais : les Victoires créent un collège spécifique pour la musique de jazz. Franck Hagège sollicite l’UMJ pour faire un bilan et tracer de nouvelles perspectives pour les Djangos d’Or.

• 1997 : sortie du Livre du Jazz en France (UMJ/Outre Mesure).
• 1998 : L’UMJ s’installe au Quai de la Gare, dans l’immeuble des « Frigos ».
• 2000 : Dissolution ou refondation ? Lors d’une AG extraordinaire, sous la présidence de Pierre-Yves Sorin, au New Morning (encore !), la majorité des adhérents vote pour la poursuite des activités de l’UMJ.

• 2000/2001 : travaux dans les locaux pour créer un 2e studio de répétition.
• juin 2001 : plantation de « l’arbre du jazz » pour protester contre le projet de démolition de l’immeuble « Les Frigos »

• oct. 2001 : lettre ouverte à Catherine Tasca pour le maintien du Villette Jazz Festival

• 2002 : l’UMJ fête ses 10 ans au… New Morning ! L’action politique de l’UMJ se poursuit (intervention auprès du Paris Jazz Festival pour une présence significative des musiciens français). L’objet de l’association est modifié pour inclure le terme de « création ».

• 2003-2004 : Jazz et intermittence, l’UMJ prend position et organise une journée d’information.

• 2004 : Aldo Romano s’exprime dans un édito : « Restructurée, combative, pleine d’idées, confiante, l’UMJ est là où le jazz - dans toutes ses déclinaisons - éveille les âmes et nous parle d’avenir ».

• 2004 : Ann Ballester, présidente de l’UMJ, crée l’orchestre de l’UMJ, baptisé dans un 1er temps « One Two Free Go ! » L’UMJ a son site Internet.

• 2004-2005 : L’UMJ publie plusieurs articles dans Jazz Mag au sujet de l’ONJ. Dans une Lettre ouverte à Monsieur Donnedieu de Vabre, elle se positionne contre la disparition de l’orchestre et entend rester un partenaire régulier pour une refonde de l’outil AJON/ONJ.

• 2005 : « One Two Free Go » devient le « SPOUMJ » (Sound Painting Orchestra de l’UMJ) sous la direction de François Jeanneau. L’UMJ s’unit aux sociétés d’artistes et aux associations de consommateurs pour créer l’Alliance Public Artistes et se positionner pour une Licence globale et contre une répression inefficace dans le débat autour du « Peer to peer ».

• 2006 : l’UMJ lance un projet « Diffusion 2007 » et participe aux commissions de travail créées par la SPEDIDAM et l’ADAMI pour « une relance de la politique culturelle en 2007 »