Le jazz a sa tribune depuis 2001

Edition du 23 avril 2024 // Citizenjazz.com / ISSN 2102-5487

Les dépêches

Une vision fugitive de Peg Carrothers…

Communiqué :

Peg Carrothers, Edges of My Mind, sortie le 4 novembre 2014

« Peg Carrothers n’est pas chanteuse. Elle est bibliothécaire, mère de famille, femme de.
Et pourtant, elle chante depuis toujours.
Elle complète brillamment des études de chant classique dans sa jeunesse.
Jeune fille, elle écume les clubs de Minneapolis, sa ville natale, en compagnie des musiciens locaux
dont les noms n’ont pas encore traversé l’Atlantique, Jay Epstein, Chris Bates, Adam Linz, Dean Magraw
et celui qui va devenir son mari, Bill Carrothers.
Puis elle fait d’autres choses. Mais elle chante. Tout le temps.
En 1999, à trente-cinq ans elle enregistre son premier disque, Blue Skies.
Avec sa famille : Bill qui n’est pas encore son mari, Chris Bates et Jay Epstein.
Puis deux enfants vont naître.
Elle participe aux projets de Bill, Armistice 1918, Playday, “Sunday Morning,
et aux Voices that Are Gone du violoncelliste Matt Turner.
Les enfants ont bien grandi. Elle chante toujours. Et enregistre ce qu’elle aime.
Stephen Foster bien sûr, mais aussi Aerosmith, les Rolling Stones, Johnny Nash, Michel Legrand
et Boe Harbison, l’auteur de Edges of My Mind. Boe est mort il y a quelques années.
Il était voisin et ami des Carrothers à Mass City dans la péninsule nord du Michigan, en face du Lac Superieur.
Boe n’était pas guitariste, mais il a joué de la guitare et écrit des chansons toute sa vie.
Comme quoi… » © philippe ghielmetti, Vision fugitive



CD + livret illustré inédit de 40 pages : photographies en couleur de l’Amérique des années 1936/41 par Russell Lee, Jack Delano, John Vachon and Marion Post Wolcott. Pochette : Emmanuel Guibert.

Une production Vision Fugitive / Distribution Harmonia Mundi
Egalement disponible en LP collector.