On est content d’entendre enfin des compositions. Plus de sincérité, moins de maniérisme, une orchestration classique mais présente et inventive. Dommage qu’Elisabeth chante presque toujours “au plafond”, cela cantonne la voix à une seule couleur ; on aurait envie de plus de nuances, comme au début du dernier titre, pour apprécier l’étendue de son timbre.