Ladybird nous invite à parcourir les nuages et nous laisser guider par les vents. A l’écoute de cet album, une légère brise envahit l’espace et vient nous rafraîchir. Entre jazz, musique folklorique italienne et poésie, Paolo Damiani nous fait rêver. La douceur de ses compositions, le timbre feutré de la trompette de Paolo Fresu et la voix enchanteresse de Diana Torto sont autant d’ingrédients qui nous font apprécier cette musique d’une douceur et d’une fraîcheur poétique.
Ce qui donne force et (…)
Accueil > Mots-clés > Dossier en cours > Italie - Jazzus populusque romanus
Italie - Jazzus populusque romanus
Articles
-
Paolo Damiani
27 septembre 2004, par Xavier Encinas -
Carmine Ioanna quartet
3 février 2019, par Gilles GaujarenguesDrôle d’album que ce Soli in viaggio. Drôle d’album car, alors que le titre laisse entendre un voyage en solitaire, on a une multitude de sons, de phrases, de rythmes complètement exacerbés. Là où on attendrait quelque chose de l’ordre de l’introspection, on a affaire à un style presque foutraque. Que chaque musicien du quartet soit crédité, outre de son instrument originel, de la mention « multi-effects » en témoigne. Il y a en effet quelque chose de débridé dans ce riche panel de sons.
On notera en outre (…) -
Giovanni Falzone European Ensemble
14 mai 2007, par Jacques ProuvostC’est le résultat d’une rencontre fortuite : cinq musiciens qui se connaissent à peine, se retrouvent à jammer ensemble à Paris. La spontanéité de l’instant et la musique qui en découle donnent l’idée à Giovanni Falzone d’enregistrer dans la foulée, avec ce même esprit de liberté, ses compositions personnelles. Et pour garder toute la fraîcheur de cette rencontre, l’enregistrement se fera en une seule petite journée, quelques semaines plus tard.
Le disque reflète bien cette urgence. Il nous plonge (…) -
Francesco Bearzatti, le Transalpin
24 janvier 2021, par Gilles GaujarenguesEntretien avec Francesco Bearzatti à l’occasion de la sortie de « Zorro », son dernier album avec le Tinissima quartet
-
Carla Marcotulli
9 juin 2008, par MinervaEnfin de la fraîcheur. Dès les premières notes on est conquis par la sincérité et le naturel de cette chanteuse. Beaucoup de charme dans la voix, et une présence vocale qui se passe très bien d’effets, (ça repose des poseuses). L’originalité de la formation, quatuor à cordes et guitare, est très bien servie par les arrangements toniques (écoutez l’enthousiasme des cordes sur « Rocco’s Rythm ») et élégants de l’auteur-compositeur lui-même Dick Halligan, fondateur de Blood Sweat & Tears.
Agréable aussi que ce (…) -
Giovanni Mirabassi back from London
25 mai 2005, par Guillaume LagréeDe retour de Londres, où il vient d’enregistrer avec des musiciens anglais - dont Tim Whitehead au saxophone ténor -, le pianiste italien Giovanni Mirabassi a enflammé Le Réservoir avec son essence lyrique.
-
Gianluigi Trovesi, Umberto Petrin & Fulvio Maras
25 juin 2007, par Laurent PoigetPremier disque chez ECM avec Umberto Petrin, pianiste et poète italien. C’est donc un trio clarinette alto, piano, percussion et électronique qu’on pourrait qualifier de « musique de chambre improvisée ». Quel autre label pourrait proposer une formation aussi originale, puisant son inspiration aussi bien chez Josquin des Prés que chez Jacques Brel ? -
Nino Locatelli, le clarinettiste totem
13 septembre 2020, par Julien AunosRencontre avec un clarinettiste milanais plutôt insistant !
-
Sergio Armaroli & Giancarlo Schiaffini
2 mai 2021, par Franpi BarriauxDéconstruire Thelonious Monk est une activité qui demande beaucoup d’attention et de précision, beaucoup d’amour pour la musique du pianiste également. Il y a plusieurs façons de s’y prendre : en jouant ses standards comme on démonte une mécanique de précision pour la transformer et la confronter à son propre langage ; c’est Braxton ou Ran Blake, c’est Von Schlippenbach ou Lacy. Et puis il y a cette approche insolite d’immerger des citations de Monk dans une œuvre contemporaine, baignée d’intentions (…) -
Fade in Trio
18 décembre 2022, par Franpi BarriauxSymbole de la pétulance de la jeune scène transalpine, le Fade In Trio nous présente avec Live Fast, Die a Legend un premier album plein de promesses. Rencontre ancienne de la clarinette basse de Federico Calcagno et de la batterie de Marco Luparia avec la contrebasse assez sèche de Pietro Elia Barcellona, le Fade In Trio est un orchestre ouvert à tout vent. Passionné de musique contemporaine, ce que l’on perçoit dans un « Perpendicular Reality » aux accents braxtoniens, notamment dans le travail de (…)