Rencontre avec une musicienne habitée par son art
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Italie - Jazzus populusque romanus
Articles
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Francesca Remigi et ses musiques plurielles
31 mars, par Mario Borroni -
Roberto Ottaviano Eternal Love
14 avril, par Franpi BarriauxAvec un premier Eternal Love paru en 2019 sur le fidèle label Dodicilune, le saxophoniste Roberto Ottaviano installait un quintet qui allait bien vite prendre le nom d’un album décidément crucial dans la riche carrière du vétéran italien. Dédié à l’amour du jazz, ou du moins à son expression la plus pugnace et désaliénante, on avait pu juger, notamment sur une belle reprise de Coltrane, de la puissance de l’orchestre porté par une base rythmique solide où la batterie de Zeno de Rossi est toujours (…) -
Evita Polidoro, la voix de la batterie
8 mars, par Enrico Bettinello (Giornale della Musica)Portrait de la batteuse et chanteuse italienne en partenariat avec le magazine Giornale della Musica.
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Tiziano Tononi, tambour battant
17 mars, par Mario BorroniLe batteur italien évoque son attachement aux personnages marquants du free jazz.
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Les renouvellements somptueux de Francesca Remigi
31 mars, par Mario BorroniTrois albums contrastés dévoilent le cheminement exploratoire de Francesca Remigi.
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Marcello Abate - Matteo Padoin - Daniele Patton
28 avril, par Mario BorroniC’est l’album des contrastes : tensions et décontraction se calquent sur les formats extensibles proposés par Marcello Abate, Matteo Padoin et Daniele Patton qui invitent des musicien·ne·s à les rejoindre au gré des morceaux d’Il testamento dell’albero. À tout juste trente-quatre ans, Marcello Abate est l’un des guitaristes transalpins des plus originaux. Son jeu combine l’effervescence et la somptuosité des standards américains. Ayant fait ses preuves dans le trio Offset, plutôt orienté vers le (…) -
Chet Baker & Enrico Pieranunzi
8 juin 2009, par Laurent PoigetJamais on ne remerciera assez le label Egea pour avoir redonné vie à Soft Journey. C’est en effet dans la collection « Pieranunzi Series » que reparaît ce disque enregistré au cours de deux séances à Rome, les mardi 4 décembre 1979 et vendredi 4 janvier 1980.
Enrico Pieranunzi fut donc à l’initiative de ce disque, dont il signe quatre des six plages. Sur la photo de pochette, aux couleurs passées de carte postale exhumée d’un grenier, le visage austère du pianiste voisine avec celui, marqué mais (…) -
Enrico Pieranunzi
26 mai 2008, par Laurent Poiget« The European answer to Bill Evans ». L’éphémère label japonais Alfa présente ainsi le pianiste Enrico Pieranunzi sur la pochette de ce chef-d’oeuvre qu’est The Night Gone By, enregistré en février 1996 à New York par le pianiste romain en compagnie de Marc Johnson et Paul Motian.
L’heureux possesseur de ce disque, en lisant cette phrase, assistait sans doute à la naissance d’un cliché. Il en est de celui-ci comme de tous les clichés : c’est une image qui marque, mais qui ne montre qu’un aspect de la (…) -
Flavio Boltro
6 avril 2003, par Férid BannourCe trompettiste aussi discret que talentueux, que ma concierge confond avec Stéphane Belmondo, fait partie des « italiens de Paris ». Au même titre que l’éblouissant Stefano Di Battista ou Antonio Farao, ils mettent du soleil dans les nuits parisiennes depuis déjà nombre d’années. Sideman recherché, Flavio Boltro avait signé un premier album en leader plutôt électrique, très marqué par une esthétique Miles Davis fin 60’s. Il avait d’ailleurs fait la pige de belle façon à Enrico Rava sur un album hommage à (…) -
Dinamitri Super Combo
31 octobre 2021, par Franpi BarriauxImaginez, en France par exemple, que deux orchestres majeurs décident de se mettre ensemble, le temps d’un disque. Archimusic et le MegaOctet, par exemple, l’avaient déjà fait, mais la chose et rare et plutôt synonyme de gourmandise pour l’auditeur. C’est ce à quoi nous invite Mappe Per l’Eden, titre évocateur de l’album du Dinamitri Super Combo, enclise du Dinamitri Jazz Folklore du saxophoniste Dimitri Grechi Espinosa, à qui l’on doit il y a quelques années le très intéressant La società delle (…)