« Ainsi, pour aller très vite, dirons-nous que le jazz comme art (et non comme simple véhicule, média) consiste en un jeu infini sur (et à l’intérieur de) ses propres codes. […] Le jazz est ainsi toujours « possible », comme la poésie, la peinture, même si, plus que jamais, on doit le concevoir comme « à venir », et certainement pas dans la simple répétition de ce qui fut. »
Quand on essaye tant bien que mal d’écrire sur le jazz, il est bon, pour éviter que l’ego n’enfle et ne se boursoufle jusqu’à grimper à (…)
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