C’est en tombant nez à nez dans la rue avec Norah Jones que je me suis souvenu de ce disque. Je l’avais croisée une fois de trop, en quatre mètres sur trois comme d’habitude. J’étais vraiment fatigué d’avaler les couleuvres servies par les médias, comme quoi la preuve du regain d’intérêt du public pour le jazz résidait dans le nombre d’exemplaires vendus de Come Away With Me.
On se trompait de Jones. D’une part parce que l’étiquette Blue Note ne garantit pas le jazz, et d’autre part parce que dans le (…)
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