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Abdullah Ibrahim
Né Adolph Johannes « Dollar » Brand en 1934 à Capetown (Afrique du Sud), devient Abdullah Ibrahim en se convertissant à l’Islam en 1968. Admirateur de Thelonious Monk. Duke Ellington le remarque et l’engage dans les années 1960. Ses compositions mêlent les harmonies jazz et les thèmes sud-africains, profanes et religieux. Vie et œuvre marquées par la résistance à l’apartheid.
www.abdullahibrahim.com
Articles
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Jours de jazz à Leipzig
13 novembre 2022, par Matthieu Jouan
Un festival de jazz à Leipzig, deux raisons d’y aller !
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Abdullah Ibrahim
6 septembre 2020, par Philippe Méziat
Abdullah Ibrahim parcourt en tous sens son histoire, sa mémoire, ses souvenirs. Il en fait, depuis une bonne vingtaine d’années, la base, le centre et la circonférence de ses récitals en solo. Pour qui a assisté à l’un de ses concerts, c’est toujours la même histoire, mais jamais le même conte. La méditation du souvenir conduit toujours à des extases voisines, qu’on ne peut néanmoins superposer à l’identique. Comme un fleuve dans lequel on se baignerait cent fois, mais jamais le même. Refrain bien (…)
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Jazz à Liège 2008
31 juillet 2008, par Jacques Prouvost
Le festival célébrait, ces 6 et 7 juin, sa 18ème édition…
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Abdullah Ibrahim
3 février 2014, par Philippe Méziat
Le titre du disque peut se traduire (du japonais) par « autrefois », et ne surprendra pas ceux qui suivent le parcours musical d’Abdullah Ibrahim. Cela fait quelques années qu’avec son trio il revisite ses grands succès, dans une sorte de remémoration de sa vie et de son histoire, laquelle, on le sait, l’a conduit de l’Afrique du Sud de l’apartheid aux USA en passant par l’Europe. C’est au détour des années 70 qu’il s’est fait connaître chez nous, grâce à quelques disques fameux sur le label Enja. A (…)
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Abdullah Ibrahim
15 mai 2022, par Laurent Dussutour
Le jeu de mots est facile, mais empreint d’un grand respect pour celui qui fut l’un des principaux mentors du pianiste sud-africain Abdullah Ibrahim : Duke Ellington - on imagine certain.e.s qui fredonnent déjà « Solitude ». Sur ce disque enregistré en solo, celui que Nelson Mandela avait appelé le « Mozart africain » et que l’on appela « Dollar Brand » - du nom d’une marque de cigarettes -, déploie des accents universels et plus jeunes que jamais. Les plages de ce disque sont comme autant de paysages (…)
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Abdullah Ibrahim solo
17 mars, par Frank Bigotte
Décembre 2023, à Montpellier, un solo du pianiste.
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A. Ibrahim et Bojan Z - Jazz à Vannes
5 septembre 2005, par Bob Hatteau
En première partie : Bojan Z (p), Rémi Vignolo (b), Ari Hoenig (d). En deuxième partie : Abdullah Ibrahim (p), Belden Bullock (b), George Gray Jr (d)
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Abdullah Ibrahim Trio
9 juin 2008, par Patrick Audoux
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Abdullah Ibrahim à New York
24 septembre 2001, par Edouard Jeunet
Le grand pianiste sud-africain en concert.
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Abdullah Ibrahim : Ekaya
14 octobre 2018, par Michel Laborde
Jazz in Marciac, chapiteau le 3 août 2018. Abdullah Ibrahim, piano ; Terence Blanchard, trompette ; Cleave Guyton Jr, saxophone alto, flûte, clarinette piccolo ; Lance Bryant, saxophone ténor ; Marshall McDonald, saxophone baryton ; Andrae Murchison, trombone, trompette ; Noah Jackson, basse, violon ; Will Terrill, batterie.