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Adrien Chennebault
Articles
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Amphiopéra de Lyon épisode 6 : Roberto Negro trio rencontre Christophe Monniot
16 avril 2012, par Christophe CharpenelRobert Negro, piano ; Christophe Monniot, saxophones ; Jérôme Arrighi, basse ; Adrien Chennebault, batterie ; le 30 mars 2012 -
Christophe Monniot Ozone Kimono Septet
16 juillet 2017, par Christophe CharpenelA l’Amphiopéra de Lyon le 11 mars 2017. Christophe Monniot saxophones, clavier, Emil Spanyi piano, Roberto Negro piano, Mátyás Szandai contrebasse, Stéphane Décolly basse, Joe Quitzke batterie, Adrien Chennebault batterie. -
Roberto Negro Trio invite Christophe Monniot
20 avril 2015, par Philippe MéziatUn double CD qui aura attendu - et nous avec - un certain temps avant de sortir des boîtes et autres étuis où il restait caché pour de bonnes raisons. L’actualité de la Loving Suite pour Birdy So a primé sur cet enregistrement qui date de mars et juillet 2012 et résulte d’une part d’un concert à Lyon (le live avec Christophe Monniot), et d’autre part de deux séances en trio.
L’actualité fait bien les choses : au sortir de trois soirées « Tricot » à Orléans, dont l’une a permis de découvrir le grand (…) -
La Scala
15 septembre 2014, par Franpi BarriauxDepuis quelque temps, les productions du Tricollectif s’attirent l’attention au point de paraître rythmer les saisons du jazz hexagonal. Qu’elles sortent sur son propre label ou hébergées par des complices tels qu’Ayler Records, elles en sont, en tout cas, un réjouissant temps fort. Après Can You Smile ? où la marraine du collectif, Joëlle Léandre, devisait avec le trio de Théo Ceccaldi, c’est au tour du pianiste Roberto Negro de proposer sa Scala en quartet en compagnie des indéfectibles frères (…) -
Kimono
30 avril 2017, par Franpi BarriauxLe premier album du trio de Roberto Negro augmenté de Christophe Monniot était doté de faces diverses. Luna di Wuxi et Kimono symbolisaient deux aires de découverte entre le pianiste et le saxophoniste, bien départagés par la batterie inventive et polymorphe du fidèle Adrien Chennebault. La seconde partie a d’ailleurs donné le nom à ce qui est devenu un orchestre, même si Stéphane Decolly a supplanté à la basse électrique Jérôme Arrighi. Un remplacement qui définit précisément ce que l’on entend, puisque (…)
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