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Reuben Rogers
Articles
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Joshua Redman Quartet
13 octobre 2014, par Emmanuelle Vial[Paris Jazz Festival->http://www.parisjazzfestival.fr, Parc Floral de Paris, 27 juillet 2014. Avec : Joshua Redman, saxophone - Aaron Goldberg, piano - Reuben Rogers, contrebasse - Gregory Hutchinson, batterie. -
Charles Lloyd New Quartet
4 juin 2012, par Frank BigotteCharles Lloyd New Quartet
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Charles Lloyd 8 : Kindred Spirits
26 avril 2020, par Guy SitrukEn un raccourci que permettent les sorties d’albums, on peut passer de la fin des années 60, lors du démarrage du festival de jazz à Montreux, au concert pour fêter la 8e décennie de Charles Lloyd. Il vient rejoindre la cohorte de ces vétérans du jazz qui ont connu les bouleversements liés à Coltrane et au free, qu’ils en soient les initiateurs ou qu’ils soient de ceux qui ont choisi des chemins de traverse.
Difficile de dire de Charles Lloyd qu’il en était un initiateur. En revanche, il a été de ceux (…) -
Joshua Redman Quartet Salle Pleyel
14 octobre 2013, par Christian TaillemiteJoshua Redman Quartet le 6 octobre 2013, salle Pleyel à Paris 1ère partie : Baptiste Trotignon - Mark Turner
Baptiste Trotignon : piano Mark Turner : saxophone ténor Joshua Redman : saxophone ténor Aaron Goldberg : piano Reuben Rogers : contrebasse Gregory Hutchinson : batterie
Concert à écouter sur France Musique le 16 octobre 20013 à 20h -
Aaron Goldberg
26 mai 2015, par Victor PénicaudCertains ont découvert le trio d’Aaron Goldberg d’une étrange façon : leur « OAM’s Blues » figure parmi les morceaux déposés automatiquement par Microsoft dans le dossier « Ma Musique » de Windows Vista. Les autres connaîtront peut-être au moins ses protagonistes pour les avoir entendus aux côtés d’innombrables figures de la scène contemporaine américaine : Aaron Goldberg a été le pianiste d’un des quartets de Joshua Redman ; Reuben Rogers et Eric Harland forment la rythmique du dernier groupe de Charles Lloyd. (…) -
Aaron Goldberg
24 juillet 2016, par Olivier AcostaC’est à se demander, tout de même, si l’on n’attend pas un peu trop des musiciens. Pourquoi subsiste-t-il, tout au long de ce disque, un goût d’inachevé ? Pourtant la qualité de jeu est là, évidemment. Il y a de bonnes idées, des passages où le trio joue une belle musique, tout en partage. Mais il reste un delta entre les propositions faites et l’idée qu’on s’en fait a priori.
Pourtant, le titre de l’album affiche les intentions d’Aaron Goldberg. The Now. Le présent, l’instant. Ce qui renvoie inévitablement (…)
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