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Stéphane Belmondo
Articles
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Stéphane Belmondo - Sylvain Luc
10 novembre 2019, par Denis DesassisIl est des disques qu’on écoute avec ravissement. Il faut entendre par là ce plaisir singulier qui nous donne l’illusion d’être aux côtés des musiciens, tout près d’eux, comme s’ils étaient entrés dans notre salon pour jouer leur musique. 2.0 est de ceux-là, on ne saurait y voir un hasard. Car la complicité qui unit Sylvain Luc et Stéphane Belmondo est le fruit d’une amitié de longue date. Si tous deux ont emprunté des chemins différents depuis leur première rencontre discographique en 1999 avec l’album (…) -
Belmondo
21 avril 2003, par Férid BannourAttention, chef d’œuvre. Les frères Belmondo, respectivement Lionel au sax et Stéphane à la trompette, interprètent en combo la musique de deux compositeurs français du début du vingtième siècle, Lili Boulanger et Maurice Duruflé.
On sait à quel point cette école française a marqué le jazz, la preuve en est encore faite aujourd’hui avec cet album d’amour et respect. Les arrangements sont somptueux, jamais lourds ni pompeux, et les solistes se montrent particulièrement inspirés, Lionel en tête qui nous (…) -
Hommage à Chet Baker
31 juillet 2016, par Christophe CharpenelJazz à Vienne au Théâtre Antique le 29 juin 2016. Riccardo Del Fra contrebasse, Stéphane Belmondo, Erik Truffaz, Airelle Besson trompette, Bojan Z piano, Piers Faccini, Sandra Nkaké, Yael Naim, Hugh Coltman voix, et de nombreux musiciens. -
Ravel et le Jazz
8 mai 2017, par Pierre VignacqAnglet, Théâtre Quintaou, Scène Nationale du Sud Aquitain, 23 mars 2017
Lionel Belmondo, arrangements, sax ténor et soprano ; Stéphane Belmondo, trompette, bugle ; Jacky Terrasson, piano ; Thomas Bramerie, contrebasse ; Lukmil Perez, batterie, percussions ; Orchestre National de Bordeaux Aquitaine, sous la direction de Bastien Stil.
De Goldkette (Jean) à Haden (Charlie), en passant par Bix, Bird, Chet, Clifford, Getz, et autres Art Pepper, tant de grands noms jaillis de nos bréviaires ont tenté (…) -
Stéphane Belmondo Trio au Cheval Blanc
15 mai 2016, par Léna TritscherEn trio, ce 5 avril 2016 dans la salle du Cheval Blanc à Schiltigheim : Stéphane Belmondo (bugle et trompette), Thomas Bramerie (contrebasse) et Jesse Van Ruller (guitare). -
Sophie Alour à Deauville
13 mai 2018, par Gérard BoisnelSophie Alour joue au Casino…
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Boulou et Elios Ferré
29 décembre 2008, par Giuseppe AventuraVoici un disque où la modernité épouse la tradition, où l’élégance est omniprésente et l’intemporalité en mouvement perpétuel. La réunion des deux fois deux frères est une belle rencontre, avec du jazz à tous et pour tous les étages. Il s’ouvre sur un joli thème à trois temps joué à l’unisson par les Belmondo (pas frères pour rien) où les solos s’enchaînent merveilleusement. On savoure alors la guitare de Boulou Ferré, sentimentale et poétique à souhait, au joli toucher si sensible (« Brothers to Brothers », (…) -
Brotherhood, Belmondo quintet
26 septembre 2021, par Michel LabordeBrillant retour des « frangins » sous le chapiteau.
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Thomas Bramerie Trio
25 novembre 2018, par Laurent DussutourQuand l’un des sidemen les plus recherché de la planète jazz ose enfin commettre un album en tant que leader, cela ne peut que produire des pépites. Placé sous les auspices de l’élégance classique d’un Edward Elgar (« Salut d’Amour »), du bebop le plus menaçant débarrassé de ses oripeaux devenus trop académiques (impressionnante version du « Played Twice » de Monk) et du groove revendicatif du hard-bop (méchante livraison du « Work Song » de Nat Adderley), Thomas Bramerie s’émancipe enfin dans un maelström (…) -
Sophie Alour
3 juin 2018, par Franpi BarriauxComme l’explique Sophie Alour dans l’interview qu’elle nous a accordée, Time for Love a les échos de l’intime. Pas seulement parce que, de Lester Young à George Gershwin, la saxophoniste retrouve les standards qu’elle chérit et visite avec un grand respect, mais surtout parce qu’il correspond à la naissance de sa fille.
Est-ce pour autant qu’elle a abandonné l’énergie qui secouait Shaker, son précédent album ? On pourrait le croire, lorsque le quintet à vent arrangé par François Théberge habille « (…)