Accueil > Mots-clés > Musicien(ne)s / Formations > Yvan Robilliard
Yvan Robilliard
Articles
-
Médéric Collignon Jus de Bocse Moovies
22 décembre 2014, par Hélène CollonD’Jazz Nevers 2014. Avec : Médéric Collignon, bugle, cornet, chant ; Emmanuel Harang, basse ; Yvan Robilliard, claviers ; Philippe Gleizes, batterie, guitare. -
Yvan Robilliard
24 mai 2010, par Laurent PoigetDepuis quelques années déjà, l’oreille de l’amateur de piano frissonne de plaisir au seul nom d’Yvan Robilliard. Plus précisément depuis 2005, date de sortie de Mouvance, son premier album. Des débuts en solo, rien moins, car on n’a pas froid aux yeux quand on est paré de tous les dons, et qu’un monstre de l’instrument comme Antoine Hervé, se propose de produire votre premier enregistrement.
Après qu’on l’eut brièvement aperçu au sein d’IXO, un de ces groupes de jeunes qui font leur jazz avec du rock, (…) -
Médéric Collignon Moovies
25 janvier 2015, par Michel LabordeSalle Nougaro, Toulouse le 13 janvier 2015. Avec : Médéric Collignon, cornet, bugle, chant, effets ; Yvan Robilliard, Fender Rhodes ; Philippe Gleizes, batterie, guitare ; Emmanuel Harang, basse électrique. -
Médéric Collignon 4tet
4 août 2014, par Christophe CharpenelFort en Jazz - Francheville (Lyon) le 14 juin 2014. Avec : Médéric Collignon cornet, bugle, chant, effets, Yvan Robilliard Fender Rhodes, Philippe Gleizes batterie, Emmanuel Harang basse électrique -
YR3
24 novembre 2019, par Denis DesassisYvan Robilliard est loin d’en être à son premier coup d’essai. On connaît bien en effet le pianiste, ne serait-ce qu’en tant que membre de l’impétueux Jus de Bocse de Médéric Collignon. Cette seule appartenance pouvant définir à elle seule un musicien pas tout à fait comme les autres. On l’a connu aussi – c’était en d’autres temps – compagnon de route d’Ibrahim Maalouf, ce qu’on lui pardonnera volontiers. Sans oublier plusieurs disques sous son nom, tel Intuitions dont Citizen Jazz avait fait un Élu en son (…) -
IKIRU
17 septembre 2023, par Mario BorroniL’alchimie poétique qui irradie ce disque est quasi baudelairienne. L’apaisement généré par l’œuvre d’Erik Satie appelle à une forme de transmutation initiée par Fabrice Theuillon et Yvan Robilliard. Ils nous conduisent à découvrir un monde où la confrontation avec l’inconscient se fait de façon naturelle.
La « Gymnopédie n° 1 », les « Gnossiennes n° 2 et n° 4 », les « Nocturnes n° 1 et n° 3 » maintes fois entendues ressuscitent de manière inespérée ; le souffle qui émane du saxophone ténor est plus qu’une (…)
0 | 10