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Stefano di Battista
Articles
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Sylvain Luc Stefano Di Battista - Giù la Testa
11 janvier 2015, par Christophe CharpenelA l’Amphiopéra de Lyon le 13 décembre 2014. Avec Sylvain Luc guitares, Stefano Di Battista saxophones, Daniel Sorrentino contrebasse, basse, Pierre-François Dufour batterie, violoncelle -
Biréli Lagrène & Stefano Di Battista en concert
15 mars 2004, par Arnaud StefaniStandards en liberté
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Rosario Bonaccorso Travel Notes
30 septembre 2013, par Michel LabordeJazz à Ramatuelle 17 août 2013
Rosario Bonaccorso : contrebasse Fabrizio Bosso : trompette Andrea Pozza : piano Nicola Angelucci : batterie Stefano Di Battista : saxophones -
Jazz sous les pommiers 2015 (3)
3 août 2015, par Jean-François Picaut34e édition du festival normand.
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Daniel Humair & Guests : Panoramas
5 novembre 2017, par Raphaël BenoitEntre musiques et peintures, retour sur une soirée toute en mouvement.
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Jazz à Perpignan, à cent mètres du centre du monde
21 novembre 2011, par Michel ArcensCompte rendu subjectif et parfois « dalinien » de Jazzèbre 2011
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Laurent De Wilde, pas de deux avec Stefano di Battista
11 juin 2012, par Jean-Claude PennecUn des très beaux moments du festival Esprit Jazz à Saint-Germain des Prés en cette année 2012 : la rencontre entre un pianiste revenu à l’acoustique et un saxophoniste faisant semblant de s’être assagi.
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Enrico Rava Quartet
17 janvier 2016, par Emmanuelle Vial[Paris Jazz Festival->http://fr.parisjazzfestival.fr/2/paris-jazz-festival, Parc Floral à Paris, le 14 juin 2015
Enrico Rava Quartet featuring Stefano Di Battista : Enrico Rava, trompette - Stefano Di Battista, saxophone alto - Francesco Diodati, guitare - Gabriele Evangelista, contrebasse - Enrico Morello, batterie -
Stefano Di Battista au Duc des Lombards, reportage dessiné
29 octobre 2012, par Yann Bagot -
Stefano Di Battista
18 octobre 2004, par Mwanji EzanaGustav Mahler disait qu’« une oeuvre dont on voit les limites exhale une odeur de mort ». Heureusement pour Stefano Di Battista, la nécrophilie est moins repréhensible en musique que dans le reste de la société. En écoutant Parker’s Mood, on ne peut s’empêcher de repenser à la composition de Charles Mingus, « Gunslinging Birds », et aux mots l’accompagnant : « If Bird had been a gunslinger, there would have been a lot of dead copycats. »
Comment rendre hommage à un révolutionnaire, un innovateur, en (…)