Malte ? 316 kilomètres carrés, 400 000 habitants et un festival de jazz ambitieux qui fait mieux que renaître de ses cendres.
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Ari Hoenig
Né en 1973 à Philadelphie, fils de deux musiciens classiques, se tourne vers la batterie à l’âge de 12 ans. « Monté » à New York à 22 ans, il se fait remarquer auprès de Jean Michel Pilc, puis Kenny Werner, Chris Potter, Kurt Rosenwinkel, Bojan Z… Sideman très recherché pour son inventivité et son apport au collectif, il est aussi co-leader du Hoenig – Pilc Project , leader du quartet « Punk Bop » et se produit en solo (deux albums co-produits en 2000 et 2002). Enseigne à l’Université de New York.
Articles
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Malta Jazz Festival 2010
10 septembre 2010, par Diane Gastellu -
Shahin Novrasli
5 mai 2014, par Franpi BarriauxL’Azerbaïdjan n’est indépendant que depuis moins d’un quart de siècle, mais son apport à l’art pianistique date d’avant la dislocation de l’Empire soviétique. On pense bien sûr à Vagif Mustafa Zadeh et, plus proche de nous, à sa fille Aziza, qui ont su investir dans le domaine du jazz le potentiel improvisationnel du mugham, musique modale fondatrice de la culture du pays. Le jeune Shahin Novrasli vient, avec Bayati, son premier album, s’inscrire dans cette tradition. Précoce prodige doté d’un beau (…) -
Ari Hoenig trio à l’espace Daniel Sorano
25 novembre 2013, par Fabrice JournoAri Hoenig trio en concert le 12 octobre 2013 à l’espace Daniel Sorano à Vincennes avec : Ari Hoenig, batterie, Gilad Hekselman, guitare, Noam Wiesenberg, contrebasse. -
Le Trio Pilc-Moutin-Hoenig à Marseille. L’improvisation sublimée
20 février 2012, par Gérard PonthieuEn tournée France et Europe, le Trio Pilc-Moutin-Hoenig s’est livré corps et âme au Cri du port à Marseille. C’était vendredi 10 février 2012 – on s’en souviendra.
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Pilc Moutin Hoenig
1er avril 2012, par Matthieu JouanIl s’agit bien ici d’un disque en trio, et non seulement du pianiste Jean-Michel Pilc. Un trio envoûtant qui signe à six mains une bonne part de ces dix-huit thèmes.
Comme son nom l’indique Threedom, qui combine chiffre trois (three) et liberté (freedom) propose en effet, en toute liberté une relecture rafraîchissante et énergique d’une petite dizaine de standards (signés Miles Davis, Charlie Parker, Duke Ellington, Thelonious Monk, George Gershwin…), entrecoupés de pièces thématiques de leur (…) -
Ari Hoenig 4tet
16 mars 2009, par Yann RenoultEn plein coeur de Greenwich Village, un des quartiers mythiques du jazz à New York, à l’intersection de la 10ème Rue et de la 7ème Avenue, le Smalls ouvre sa porte à l’amateur de jazz en quête d’une adresse conviviale où écouter de la musique de qualité.
Le Smalls fait partie de ces petits clubs (avec le Fat Cat, le 55 Bar - nous en reparlerons) qui tentent de survivre en maintenant un droit d’entrée (« cover charge ») raisonnable qui garantit un cachet décent au musicien. Au programme ce soir là, (…) -
Ari Hoenig Quartet au Smalls - New York
13 mai 2013, par Christian TaillemiteAri Hoenig Quartet au Smalls - New York le 22/04/2013
Ari Hoenig : batterie Gilad Hekselman : guitare Orlando Le Fleming : contrebasse Tivon Pennicott : saxophone ténor -
Le Trio Pilc-Moutin-Hoenig
19 mars 2012, par Emmanuelle VialLe trio Pilc-Moutin-Hoenig, à l’occasion de la sortie du disque Threedom, à La Dynamo, Pantin, le 3 février 2012 Jean-Michel Pilc, piano François Moutin, contrebasse Ari Hoenig, batterie
Notre chronique -
Ari Hoenig Gaël Horellou Quartet
22 mars 2020, par Laurent DussutourQuelques instantanés de l’un des combos de post-bop les plus jouissifs de notre époque, enregistrés live dans des clubs « provinciaux ». Entre le jeu orchestral du batteur new-yorkais Ari Hoenig et la verve possédée du saxophoniste Gaël Horellou, le jazz se démultiplie dans des dimensions cachées. Ces deux compères en rythmes et mélodies esquissent des motifs paradoxaux, ancrés dans le patrimoine des tensions produites par le bop, et simultanément en quête d’un ailleurs spirituel. A la tendresse acide (…) -
Bojan Z
4 septembre 2006, par Jacques ProuvostLe dernier album de Bojan Z sonne comme le témoignage d’un musicien déraciné qui repousse encore plus dru là où il a mis les pieds (ou les mains), en s’enrichissant d’échanges et de rencontres.
Avec Xenophonia, on est d’abord accueilli par « Ulaz » (Bienvenue en Serbe), qui prépare le terreau d’un disque fertile en idées et en esprit d’ouverture. La première de ces idées, et non des moindres, est d’avoir conçu, à partir d’un vieux Fender Rhodes incomplet, un instrument hybride et unique au son… étrange (…)
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