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Alban Darche
Né en 1974 à Quimper. Formation au conservatoire supérieur. Joue avec Jazzophone Quartet, OLH acoustic, Le Sacre du Tympan… Fonde le label YOLK en 2000, forme Le Cube en 2001, le Gros Cube en 2002, tourne avec Alban Darche Trio. Lauréat en 1997 et 98 du concours de jazz de la Défense. Enseigne le jazz, compose pour des festivals, des orchestres, des institutions.
Articles
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OnzeHeuresOnze Orchestra
29 octobre 2017, par Nicolas DourlhèsArticulé autour des travaux d’Alexandre Herer (piano), Olivier Laisney (trompette) et Julien Pontvianne (saxophone), le collectif OnzeHeuresOnze, situé en Ile-de-France, se dote aujourd’hui d’une formation élargie : le OnzeHeuresOnze Orchestra. Paru sur le label du même nom qui compte une grosse quinzaine de références alliant des esthétiques variées (de la musique contemporaine au rock) à un ancrage dans le jazz et l’improvisation, ce Volume 1 réunit un groupe de musiciens rompus à la pratique (…) -
Alban Darche
18 septembre 2016, par Julien Gros-BurdetQuoi de plus naturel, si on y réfléchit bien, que d’entendre Alban Darche enregistrer un tel disque, inspiré selon ses propres mots par le travail de Gil Evans avec Miles Davis, de Paul Desmond, de Lee Konitz et de Lennie Tristano ? Lui, l’homme de la côte atlantique, nous offre avec Pacific son tribut à la musique West Coast, à ces musiciens qui l’ont influencé en tant qu’instrumentiste mais aussi et surtout en tant que compositeur et arrangeur.
Dès les premières secondes de « Birth Of The Coocool », (…) -
Petits Suisses et Gros Cube
12 avril 2020, par Julien AunosCinq questions à Alban Darche au sujet de la pianiste Marie Kruttli
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Olivier Le Goas - Abstract au Pannonica
19 mai 2014, par Michael ParqueChloé Cailleton (voc), Geoffroy Tamisier (tp), Alban Darche (ts), Gueorgui Kornazov (tb), David Chevallier (g), Marc Buronfosse (b), Olivier Le Goas (comp, dm) le 11 avril 2014 -
Le Mirifique Orchestra
8 novembre 2020, par Alice LeclercqAlban Darche assure la co-direction avec Emmanuel Bénèche d’un nouveau programme pour petit orchestre de soufflants et chanteurs. Baptisé Oh ! My Love, sous-titré Love songs pour voix et harmonie de poche, ce programme-spectacle puise des textes amoureux dans des répertoires de tous styles musicaux. Alban Darche en assure les arrangements et confie leur interprétation, soutenue par le collectif d’instruments à vents, à des invités tout aussi éclectiques : Agathe Peyrat, Alice Lewis, Thomas de (…) -
J.A.S.S. à la Péniche l’Improviste
27 janvier 2014, par Christian Taillemite11 décembre 2013
Avec : John Hollenbeck : batterie ; Alban Darche : saxophone ténor ; Samuel Blaser : trombone ; Sébastien Boisseau : contrebasse -
Le Pannonica fête ses 20 ans
3 août 2015, par Nicolas DourlhèsL’Orphicube d’Alban Darche et l’ONJ Olivier Benoit
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Le Gros Cube
11 novembre 2013, par Julien Gros-BurdetCe Queen Bishop, Alban Darche y travaille depuis 2009. Comme il nous le racontait à l’époque, sa découverte du groupe britannique, assez récente, a vite débouché sur l’envie de s’approprier sa musique. Après avoir retenu un certain nombre de morceaux (principalement issus de Queen II, A Night At The Opera et Jazz), qu’il aimait mais aussi et surtout qui se prêtaient à réarrangement et réinterprétation par le Gros Cube, Alban et Nathalie Darche ont choisi trois chanteurs issus d’univers différents. (…) -
Longboard
20 octobre 2019, par Franpi BarriauxQuel que soit le propos ou l’envie d’Alban Darche et des amis qu’il réunit avec lui - davantage qu’autour de lui, la notion est d’importance -, les images qu’évoquent sa musique sont immédiatement présentes. Elles sont travaillées, léchées même, avec de la lumière s’il en faut et ce qu’il faut d’ombre. C’était l’évidence avec Polar Mood avec le Gros Cube, mais ça l’était tout autant avec My Xmas TraX avec l’Orphicube. C’est en trio que l’on retrouve le multianchiste, et c’est de nouveau un plaisir des (…) -
Dandy Dandie
10 juillet 2022, par Franpi BarriauxLa douceur. Un voile qui s’agite au gré du vent, entre la trompette tout en clair-obscur de Geoffroy Tamisier et les basses, serrées comme une broderie en fil de soie, du piano de Nathalie Darche. On entame Hypnos et Morphée dans une bouffée onirique, un climat duveteux. Le premier morceau, « Snake », paraît par moment sombre et inquiétant, avant de s’éclairer de lune. La voix de Chloé Cailleton, d’abord lointaine, se faufile entre la trompette et le ténor d’Alban Darche qui se prend à conter une (…)