J’ai découvert Michael Wollny à Perpignan, au cours d’un concert imprévu en duo avec Vincent Peirani. Jazzèbre, millésime 2014. Une année faste !
Je crois que nous allions tous de surprises en stupéfactions… Les Ceccaldi, le Tricot, les chanteuses suédoises, ici un violon, là un violoncelle bien connu (Vincent Courtois), des anciens (Joëlle Léandre, Michel Portal) qui n’allaient pas tarder à materner/parrainer les jeunes, l’éclatement d’une ou deux générations, tout le monde pousse, grandit…
Pour le piano, c’est le début de l’omniprésence d’un quasi ancien (Joachim Kühn), l’irruption de jeunes talents de Robert Negro à Paul Lay, et l’arrivée d’Isabel Sörling pour enchanter tout ça.
Ce récital de Michael Wollny en solo, publié en 2020, permet d’espérer que nous allons bientôt être nombreux à avoir viré notre cuti.
So cute…