Trio Résistances : Etats d’urgence !

Le trio Résistances (tocanne - martin - keller)
fête son nouvel album chez Cristal Records

Bruno Tocanne : batterie, voix
Lionel Martin : saxophones
Benoît Keller : contrebasse

• du 4 au 9 septembre
  à l’Opéra de Lyon
  Place de l’Hôtel de Ville

Trois concerts chaque soir / 19h - 20h15 - 22h [entrée libre] :

• 4 septembre trio resistances invite frederic meyer (guitare)
• 5 septembre trio resistances invite frederic roudet (tromptette)
• 6, 7 et 8 septembre trio resistances invite laurent dehors (sax/clarinettes)
• 9 septembre trio resistances invite damien cluzel (guitare)

« Proposer, avancer, lutter, combattre… »Résister« , en fustigeant catégoriquement la concession ou le cliché. C‚est à cette démarche au goût d‚absolu qu‚invitent les musiciens du trio Résistances. Au cours de cette semaine, quelques compagnons de route viendront grossir les rangs de ce nouveau »front« . Une musique profonde, en perpétuelle recherche de dépassement, de transcendance. Entre maturité et fraîcheur, introspection et spontanéité, composition et improvisation. Le trio et ses invités se livrent à l’occasion de la sortie de leur 3° album »états d’urgence« chez Cristal Records à un jeu où l’engagement prévaut à toute tiédeur »
Le Péristyle de l’Opéra

• le 17 septembre
  à la Fête de l’Humanité

Etats d’urgence…
« Résister c’est créer, créer c’est résister ! »

Après leurs deux premiers albums salués par la critique, voici le 3° album du Trio Résistances qui poursuit son engagement avec ses seules armes que sont l’écoute, l’échange et le dialogue… Le répertoire, à la fois personnel et composé de chants de lutte fait plus que jamais frissonner notre mémoire collective. Un écho des années de braise, avec le souffle, sans le réchauffé… Par sa tension constante, et cette fière retenue qui s’exerce dans le parti-pris même d’exigence, cette musique est assurément dissidente aujourd’hui. On ne baptise pas un trio « Résistances » sans raisons : Bruno Tocanne (batterie), Lionel Martin (saxophones) et Benoît Keller (contrebasse) qui savent ce que résister veur dire ont choisi de ne pas aller dans le sens du courant, ou, autrement dit de remonter la pente plutôt que de la descendre.

Presque chaque instant de leur musique nous en fournit la preuve… C’est une musique vive, tendue, qui ne garde que l’essentiel. On chercherait en vain ici la moindre concession. Dans cette formation sans leader les idées sont fraîches et libres comme les airs. La résistance et son corollaire, la libération, sont omniprésentes… Il s’agît là d’un trio sans frontières qui invente une musique à la fois militante et élégante, toute en déambulations méditatives, pleines de fureurs contenues et de poésie furtive. Un trio sans cesse sur le qui vive qui fait plus que résister : qui propose d’autres façons d’être au monde !"

D’après des articles de Jazzman, Citizen Jazz, Jazz Magazine.com, Jazzosphère…