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Silke Eberhard
Articles
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Potsa Lotsa XL
28 avril, par Franpi BarriauxNommé ainsi en référence à un morceau d’Eric Dolphy, le quartet Potsa Lotsa de Silke Eberhard a évolué depuis ses débuts, consacrés comme de juste à l’œuvre de Dolphy, tant en termes de taille qu’en termes de répertoire. Il fut Potsa Lotsa Plus en septet toujours autour de Dolphy il y a dix ans. Devenu XL pendant les périodes de confinement, Potsa Lotsa s’est transformé en une formation capable de faire aboutir les idées de la saxophoniste allemande, qui participe par ailleurs au Trans Europe Express de (…) -
Hans Lüdemann, l’Europe aime ses confins
21 janvier, par Franpi BarriauxDeux disques du Trans Europe Express soulignent la richesse du jazz européen.
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Jazzdor à Budapest donne raison à l’Europe
16 avril 2023, par Matthieu JouanUn festival rhénan à portée européenne dans un temple de la musique au coeur d’une capitale impériale danubienne. L’Europe au fil de l’eau.
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Silke Eberhard & Céline Voccia
3 septembre 2023, par Franpi BarriauxC’est la saxophoniste Silke Eberhard qui nous avait pour la première fois parlé de la pianiste française Céline Voccia, depuis longtemps installée à Berlin. On l’a entendue depuis en trio avec Abîme, un disque où elle croisait des musiciens de la galaxie de la saxophoniste ; c’est donc en toute logique que les deux artistes se retrouvent en duo dans un fort réjouissant Wild Knots paru sur le label Relative Pitch. Dès le bien nommé « Exubérance », on comprend aisément quel va être le parti-pris de ce (…) -
Jazzfest Berlin, toujours aussi surprenant
26 novembre 2023, par Matthieu JouanRetour sur la 60e édition du festival berlinois
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Silke Eberhard Trio
10 octobre 2021, par Franpi BarriauxVoici plus de dix ans qu’à intervalles réguliers la saxophoniste Silke Eberhard convoque son plus ancien trio. Dix ans cruciaux pour la musicienne allemande : on l’a entendue avec Aki Takase ou Hans Lüdemann, plus récemment avec Dave Rempis, puis avec Ulrich Gumpert et Uwe Oberg dans des relations duelles. On l’a surtout remarquée avec son magnifique orchestre Potsa Lotsa, avec qui elle s’est taillé une réputation de spécialiste d’Eric Dolphy, mais surtout d’arrangeuse pointue et exigeante. Elle (…) -
Silke Eberhard / Ulrich Gumpert
13 janvier 2014, par Franpi BarriauxDans certaines rencontres, la transmission n’est pas un vain mot. Le pianiste Ulrich Gumpert et la saxophoniste Silke Eberhard sont certes séparés par une génération, mais à peine par un souffle dans la conception de la Liberté, en musique comme ailleurs. Le mot d’ordre est simplissime : célébrer une certaine forme de tradition sans pour autant se confire dans une posture ; envisager le patrimoine du jazz comme un terrain de jeu en constante mutation, une pâte à modeler multicolore qui aurait le bon (…) -
Silke Eberhard & Uwe Oberg
26 juin 2016, par Franpi BarriauxIl ne faut parfois pas longtemps pour comprendre le fonctionnement d’une relation aussi intime qu’un duo. « Ping Pong Pogo », qui ouvre Turns, le premier album en commun du pianiste Uwe Oberg et de la multianchiste Silke Eberhard, en est le parfait exemple. Les deux musiciens allemands avancent de front, en confiance, avec une envie évidente de jouer à ces jeux d’évitement qui font le bonheur des cours de récré : chat et souris, gendarme et voleur… Sax alto et piano en liberté. Un équipage (…) -
Eberhard / Casimir / Gschlößl
5 février 2023, par Franpi BarriauxLa surprise est parfois bien féconde, voilà ce qu’a du se dire la multianchiste Silke Eberhard lorsqu’elle a ressorti l’enregistrement de ce concert en trio, réalisé dans le chaleureux écrin d’un musée berlinois. On connaît le travail de l’Allemande avec un trio puissant et ancien, mais la rencontre avec deux camarades soufflants, Daniel Casimir et Gerhard Gschlößl aux trombones et tubas, est une formule assez nouvelle qui éloigne Eberhard de son registre coutumier où la base rythmique, comme son (…) -
Silke Eberhard trio
19 novembre 2017, par Franpi BarriauxIl est indubitable que la multianchiste Silke Eberhard est joueuse. Un terme qui, musicalement, ne peut être que positif, d’autant qu’il ne se situe pas dans un contexte trop performatif. Il ne s’agit pas de jouer vite ou fort, même si elle ne s’en prive pas, mais ne s’y enferme pas. Il n’est pas question de devenir bêtement virtuose pour la galerie, c’est inutile. Non, si l’Allemande est joueuse, à l’image de cette arrivée théâtrale dans « Ding Dong », claquant des talons avant de se jeter dans la (…)